Acheter une voiture électrique, ce qu’il faut savoir

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  • Écrit par : CamilleServices
  • Publié : 3 ans
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Avant d’acheter une voiture électrique, il faut se poser quelques questions essentielles.

Voici une liste non exhaustive de pistes à développer par vos soins. Je me suis basé sur mes tests de voiture électrique et mes recherches pour vous. Vous trouverez la raison ici, du pourquoi acheter une voiture électrique.

Acheter une voiture électrique, mais vous pouvez aussi utiliser la LOA ou la LLD.

Acheter un véhicule électrique, ce sont vos besoins qui déterminent le modèle

Actuellement, c’est la Renault Zoé qui est la voiture électrique la plus vendue en France. Mais ce n’est pas forcément la plus adaptée à votre usage ni la plus économique pour vous.

Il est très important de se faire accompagner pour bien choisir son véhicule. En effet, je vais comparer les offres des constructeurs et vous faire essayez un maximum de modèles différents. De plus, je vous interroge sur vos besoins réels en autonomie et sur l’utilisation que vous voulez faire de votre véhicule électrique.

Des faiblesses dans certains modèles de véhicules électriques

Mon rôle, une fois vos besoins définis, c’est de vous alerter sur les faiblesses connues des modèles de voitures électriques. Car certaines peuvent être bloquantes ou sans importance dans votre projet d’utilisation. Encore faut-il connaître ces points négatifs. L’idéal serait d’en prendre connaissance après l’essai d’un véhicule, en croisant les informations recueillies que je vous fournis.

Par exemple, sur les véhicules que j’ai testé pour vous, je vous donne mon avis. La sensibilité au fort vent latéral pour les Citroën C-ZiMiOn. Aussi, la baisse de la puissance de recharge rapide lors des longs déplacements avec la Nissan Leaf 2. Il y aussi, l’obligation de maintenir à environ 60° C la température des batteries des Bolloré Bluecar et Citroën E-Méhari, etc.

Acheter une voiture électrique pour son autonomie ?

Depuis des années, l’autonomie annoncée légalement par les constructeurs se base sur le cycle NEDC bien trop optimiste. En réalité, il faut retranchez environ 20% des chiffres officiellement communiqués pour chacun des modèles. Cela vous donne le rayon d’action que vous pouvez espérer dans des conditions correctes d’utilisation.

Le standard NECD (New European Driving Cycle) va progressivement céder la place dans le jargon des professionnels à la norme WLTP (Worldwide Harmonised Light Vehicle Test Procedure) plus réaliste.

Il y a des aides pour acheter une voiture électrique.  

L’éco-conduite favorise l’autonomie

Vous souhaitez avoir une autonomie maximale, pratiquez et développez vos aptitudes à l’éco-conduite. Pour cela, il faudra anticipé, avoir une régularité d’allure, récupérer de l’énergie à la décélération et au freinage quand disponible. On peux aussi choisir l’itinéraire le moins énergivore, rouler à l’abri d’un camion, surgonflage des pneus de 0,1 à 0,3 bars, etc. Il s’agit d’habitudes qui sont payantes pour le rayon d’action, d’autant plus si elles sont cumulées.

L’autonomie est sérieusement diminuée l’hiver

Attention quand arrive la période des grands froids, l’autonomie en prend un coup. En effet, l’utilisation du chauffage, éclairage extérieure va augmenter votre consommation. Mais aussi une certaine paresse de la technologie lithium à fonctionner sous les basses températures, peuvent réduire de 30, 40, 50% et même plus l’autonomie d’une voiture électrique.

La circulation et les bouchons sont des facteurs aggravants. Une pompe à chaleur, voire un appareil (additionnel) thermique à la place d’une résistance pour le chauffage, minimise le phénomène. Des efforts supplémentaires d’éco-conduite peuvent partiellement gommer le problème.

L’autonomie des véhicules électriques augmente progressivement

Nombre de constructeurs de voitures particulières électriques exploitent les progrès technologiques sur les cellules lithium-ion pour augmenter plus ou moins la capacité des batteries. C’est le cas, par exemple, pour les Renault Zoé, Nissan Leaf et e-NV200 Evalia, BMW i3, Kia Soul EV, Tesla Model S, etc.

Ainsi les utilisateurs d’une citadine du Losange disposent désormais d’un rayon d’action supérieur à 300 kilomètres après avoir dû se contenter d’environ 160 km. Des trajets qui semblaient difficiles ou risqués avec un VE de 2016, deviennent envisageables avec des modèles 2018 et se réaliseront sans souci en 2020.

Le réseau de recharge privilégie en France les Tesla et la Renault Zoé

Le maillage en superchargeurs Tesla permet aux propriétaires de Model S et de Model X d’effectuer des déplacements longs partout en Europe. Ces infrastructures sont le plus souvent installées en nombre dans des stations disponibles 24/7 sur lesquelles il est possible de compter avec sérénité.

C’est le déploiement massif un peu partout en France des bornes accélérée AC 22 kW qui facilite la réalisation des longues distances en Renault Zoé. Pour ceux qui ont à assurer des tournées de plus de 200 kilomètres à la journée, c’est le combo idéal par défaut ! Notamment en l’absence des bornes rapides.

Puissance maximum de la borne et puissance effective de recharge

En toute franchise, quand j’ai du échanger avec les concessionnaires, c’était pas clair. Ils méconnaissent le sujet qui peux être complexe. Parfois, ils laissent penser qu’une voiture électrique équipée pour la borne rapide 50 kW peut exploiter aussi une borne accélérée à son maximum, c’est-à-dire à 22 kW de puissance.

C’est une erreur de le croire, car tout dépend du ou des chargeurs embarqués. Nombre de VE conçus pour la recharge rapide devront, en dehors de cette possibilité, se contenter d’une recharge lente sur les prises de type E/F (éventuellement renforcée). D’autres, disposant d’un chargeur 7 kW en plus, pourront exploiter les bornes accélérées, mais pas au-delà de 6,6 kW environ.

Alors, êtes vous prêt à acheter une voiture électrique ?

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